Rolex Grand Slam of Show Jumping

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Dans les coulisses du Rolex Grand Slam : Mardi 3 Septembre 2024

Éléments clés du CSIO Spruce Meadows ‘Masters’

Photo credits : Mike Sturk / Spruce Meadows Media Photo credits : Mike Sturk / Spruce Meadows Media

Une fois encore, le Rolex Grand Slam of Show Jumping traverse l’océan Atlantique pour investir l’un des hauts lieux des sports équestres en Amérique du Nord, pour le troisième Majeur de l’année, le CSIO Spruce Meadows ‘Masters’. Du 4 au 8 septembre, les meilleurs couples au monde se rendront au pied des Rocheuses dans l’espoir de décrocher le Grand Prix CPKC ‘International’ présenté par Rolex. Celui qui y parviendra deviendra le nouveau Prétendant actuel au Rolex Grand Slam of Show Jumping. Le public, lui, aura droit non seulement à cinq journées d’épreuves exaltantes, mais aussi à de nombreux restaurants, boutiques et manifestations de qualité.

L’édition 2024 du concours accueillera un certain nombre de médaillés olympiques des Jeux de Paris, tels que le Suisse Steve Guerdat, médaillé d’argent en individuel, et les Britanniques Scott Brash et Ben Maher, médaillés d’or par équipes. Spruce Meadows sera également l’occasion de découvrir ses derniers obstacles en date : en provenance directe des Jeux olympiques de Paris, le Pont Alexandre-III sera utilisé durant le Masters sur les parcours toujours ardus de Leopoldo Palacios. D’autres obstacles des Jeux joueront également un rôle l’an prochain, lors du 50e anniversaire du concours.

Pour les amateurs de shopping, les espaces MARKT vous propose 175 boutiques réparties à divers endroits du site (Equi-Plex, Village Shops, Horizons Pavilion, Founders Plaza), sans compter que Spruce Meadows accueillera une fois de plus les championnats du monde de maréchalerie. Lors de ce prestigieux événement, des maréchaux-ferrants des quatre coins du globe se disputeront le titre de meilleur maréchal-ferrant au monde. Différentes rencontres auront lieu chaque jour portant sur les travaux de la forge : fabrication de lames, soudage...

Pendant ce temps, sur la scène Scotiabank Stage, se dérouleront des concerts de musique dont la qualité viendra rivaliser avec celle des performances sportives. Au cœur de l’International Plaza, une multitude de danseurs et de musiciens talentueux raviront le public, qui pourra notamment admirer la fanfare militaire de la Household Cavalry ou écouter Matt Blais, chanteur-compositeur natif de Calgary. Pendant ce temps, sur la piste Deloitte, diverses manifestations grisantes auront lieu, comme le défilé des blindés du Lord Strathcona's Horse (Royal Canadians), le concours canin des Spruce Meadows Prairie Dogs, de remarquables démonstrations de voltige et de dressage et bien sûr la Corgi Cup, la course préférée du public !

La Piste internationale accueillera de nouveau cinq jours de saut d’obstacles d’un niveau inégalé. Pour garantir la qualité sans pareille de ces épreuves, celles-ci ont été peaufinées comme jamais. L’obstacle de terre a été retiré pour donner aux chefs de piste une plus grande liberté dans leur travail, et de grands écrans vidéo ont été mis en place pour permettre au public de mieux voir le spectacle.

Les épreuves de CSIO 5* commenceront le mercredi 4 septembre avec la TELUS Cup et la Cardel Homes Cup, et se termineront le dimanche 8 septembre par l’épreuve-phare, le Grand Prix CPKC ‘International’ présenté par Rolex. Avec ses deux manches et son barrage, ce dernier mettra à l’épreuve le courage, l’agilité et la forme physique des chevaux comme des cavaliers. La victoire sera âprement disputée par des concurrents de haute volée, tels que André Thieme, Prétendant actuel au Grand Slam, ou Martin Fuchs, Témoignage Rolex et gagnant en titre.

Ceux qui ne seront pas en mesure de se déplacer pour voir l’événement de leurs propres yeux pourront regarder le Grand Prix CPKC ‘International’ présenté par Rolex, en live et gratuitement, depuis le site Web du Rolex Grand Slam of Show Jumping. 

Les cavaliers à suivre lors du tournois de Spruce Meadows 'Masters'

Photo credits : Spruce Meadows Media Photo credits : Spruce Meadows Media

Le Rolex Grand Slam of Show Jumping reviendra du 4 au 8 septembre 2024 à l’emblématique CSIO Spruce Meadows 'Masters' pour ce troisième Majeur de l’année. Les meilleurs couples au monde se réuniront dans l’un des plus grands sites de sports équestres d’Amérique du Nord. Les cinq jours d’épreuves de renommée mondiale se concluront le dimanche 8 septembre par le très attendu CPKC 'International' présenté par Rolex.

Suite à sa formidable victoire au CHIO d’Aix-la-Chapelle aux rênes de son intrépide jument DSP Chakaria, André Thieme est le Prétendant actuel au Rolex Grand Slam of Show Jumping. Le cavalier allemand pense bien continuer sur sa lancée et remporter un deuxième Majeur afin de retrouver le cercle très fermé des cavaliers ayant déjà réalisé cet exploit. À Aix-la-Chapelle, son audacieux barrage avait valu à Thieme de passer la ligne d’arrivée 1,25 seconde plus tôt que l’Américain McLain Ward, qui a quand même ajouté une médaille olympique à son impressionnant palmarès lors des Jeux de Paris 2024. Ward, un cavalier à l’esprit de compétition aiguisé, cherchera une fois encore à décrocher les étoiles.

Parmi les favoris, on trouve le Martin Fuchs, champion en titre, qui fait une très belle saison : deux victoires aux Rolex Grand Prix du Royal Windsor Horse Show et du Dublin Horse Show sur, respectivement, Leone Jei et Conner Jei. Le Suisse continue de bâtir un parcours impressionnant, qui fait déjà de lui le seul cavalier à avoir gagné deux Rolex Grands Prix consécutifs (au CHI de Genève de 2019 et 2021) ou la Finale de la Coupe du monde FEI 2022.

En plus de Fuchs, Spruce Meadows accueillera plusieurs Témoignages Rolex, comme Steve Guerdat, autre cavalier suisse actuellement classé 4e mondial. Guerdat, médaillé olympique à trois reprises, est arrivé en troisième place (derrière Fuchs) au Royal Windsor Horse Show et a décroché une médaille d’argent en individuel aux Jeux olympiques de Paris 2024, aux rênes de Dynamix De Belheme. Porté par sa dernière performance au ‘Masters’, Guerdat tentera de réitérer son succès au Grand Prix CPKC 'International' présenté par Rolex de 2021. Notons que depuis la naissance du Rolex Grand Slam of Show Jumping en 2013, le Suisse n’a pas manqué un seul de ces Majeurs.

Ces trois dernières années, les témoignages Rolex ont dominé le Grand Prix CPKC 'International' présenté par Rolex, comme par exemple Daniel Deusser en 2022. Désireux de reconquérir son titre, Deusser sera présent à Calgary cette année, ainsi que quatre de ses compatriotes, dont Richard Vogel. Vogel a eu une saison 2024 très réussie, avec une troisième place au Rolex Grand Prix d’Aix-la-Chapelle et plusieurs victoires en 5* sur ce même site.

Le Britannique Scott Brash fera lui aussi une apparence très attendue, après sa victoire historique à Spruce Meadows en 2015, date à laquelle il est devenu le premier (et jusqu’ici le seul) cavalier à remporter le Rolex Grand Slam of Show Jumping, après trois victoires consécutives dans un Majeur. Récemment médaillé d’or par équipes aux Jeux de Paris 2024, Brash arrivera confiant. Il rejoindra son compatriote Ben Maher, adversaire redoutable et champion olympique médaillé d’or à trois reprises.

Actuel numéro 2 mondial, Maher a fait une formidable saison. Il aura faim de victoire et avec son palmarès, il représente un vrai danger pour ses concurrents,

Kevin Staut, autre témoignage Rolex, fait lui aussi partie des cavaliers à suivre. Il a remporté le Grand Prix Rolex de Dinard en juillet, et on a pu le voir sur de nombreux autres podiums cette année. L’ancien numéro 1 mondial fera tout pour ajouter un énième titre à son palmarès.

Le public sera ravi de voir concourir plusieurs cavaliers canadiens, dont Tiffany Foster, qui occupe actuellement la première place du classement national. Foster a déjà remporté un CSI 5* ici-même cet été, et sait très bien ce qu’il faut faire pour dompter l’impressionnante Piste internationale. Parmi les autres cavaliers du pays hôte, on trouve Amy Millar, dont le père Ian est le dernier Canadien à avoir décroché le Grand Prix CPKC ‘International’ présenté par Rolex (en 2014 sur Dixson), ainsi que Erynn Ballard, qui occupe la deuxième place du classement canadien.

Six cavaliers seront présents pour représenter l’Irlande, dont Conor Swail et Daniel Coyle, deux membres de l’équipe gagnante à la Coupe des nations BMO l’an passé. Max Kühner, numéro 3 mondial, Rodrigo Pessoa, légende brésilienne, et Sameh El Dahan, victorieux en 2018, sont d’autres concurrents de renom présents cette année.

Le chef de piste Leopoldo Palacios produira à coup sûr un défi d’envergure pour les célèbres couples participant au Grand Prix CPKC 'International' présenté par Rolex. Une affiche impressionnante, donc, pour cet événement dont le public pourra assister à une lutte acharnée entre les meilleurs cavaliers au monde, avec à la clé une chance de devenir le prochain Prétendant au Rolex Grand Slam of Show Jumping.

Interview avec André Thieme

Photo credits : Ashley Neuhof / Rolex Grand Slam Photo credits : Ashley Neuhof / Rolex Grand Slam

Félicitations, vous êtes prétendant au titre du Rolex Grand Slam of Show Jumping après votre victoire sensationnelle au CHIO d’Aix-la-Chapelle, comment vous sentez-vous ?

À ce moment-là, j’espérais être sélectionné pour l’équipe olympique allemande, je n’ai donc pas eu vraiment le temps de fêter ça. Mais bien entendu, cette victoire était vraiment incroyable et j'ai réalisé qu'il me faudrait devenir champion olympique pour égaler cette réussite ! Gagner le Rolex Grand Prix au CHIO d’Aix-la-Chapelle, c’était un conte de fée pour moi, le rêve d’une vie devenu réalité.

 

J’imagine qu’avec le recul, votre victoire au Rolex Grand Prix du CHI de Genève a pris une place très spéciale pour vous et votre équipe ?

C’était une victoire très spéciale. Quand j’ai fait tomber deux barres au concours de la Coupe des Nations du CHIO d’Aix-la-Chapelle, mon équipe a été terriblement déçue car nous savions que c’était probablement la fin de mes espoirs olympiques. Mais quand j’ai gagné le Rolex Grand Prix le dimanche, tout a changé et nous avons tous été tellement heureux et ravis de cette victoire. Toute l’équipe ne cessait de me dire : « c’est encore mieux que d’aller aux Jeux olympiques ! »

 

Pouvez-vous nous en dire plus sur DSP Chakaria, ce qui la rend si spéciale, et sur son caractère ?

À l’écurie, on ne devinerait jamais que DSP Chakaria est une telle superstar. C’est un cheval très calme, détendu et tranquille. Elle est un peu timide avec les gens, elle aime rester seule et peut très bien rester à dormir toute la journée dans son box, elle est très calme. Mais dès qu’on lui met une selle sur le dos et qu’on la fait galoper et sauter, elle s'anime. Comme si on allumait une grosse machine ! D'un cheval calme et doux, DSP Chakaria se transforme en véritable feu d’artifice.

Quand je la monte, elle se gonfle, elle a beaucoup d’énergie et elle peut parfois être assez fougueuse. Elle n’a pas toujours été facile à monter, j’avais parfois du mal à avoir un contact stable et à la contrôler avec mes jambes. Ces cinq dernières années, nous avons travaillé pour qu’elle reste calme et détendue au moment de sauter. Elle a tellement de puissance et d’énergie qu’il était parfois difficile de faire un parcours régulier. Nous avons fait de gros progrès sur ce travail de nivellement ces deux dernières années et j’ai eu beaucoup de succès avec elle. Nous avons gagné le Rolex Grand Prix au CSIO Roma Piazza di Siena, le titre du Championnat d’Europe de la FEI en individuel et d’autres Grands Prix cinq étoiles à travers le monde.

Chakaria a toujours été une super partenaire mais, cette année, les choses sont devenues plus faciles. Gagner le Rolex Grand Prix au CHIO d’Aix-la-Chapelle, c’est quelque chose d’inoubliable pour un cavalier, c’est comme gagner une médaille individuelle dans un championnat. Je sais bien ce que ça veut dire, et je sais que tous les cavaliers du monde veulent ce titre. C’est grâce à Chakaria que j’ai pu le faire, elle est vraiment spéciale.

Et je pense que ce qui la rend si spéciale, c’est qu’elle a toutes les qualités. J’ai déjà eu des chevaux avec de la détente, prudents, mais Chakaria a de la détente, tout en étant à la fois prudente, rapide, souple, puissante, mais surtout, l’une de ses plus grandes forces et qui en fait une vraie championne, c’est son endurance. Même après cinq jours de compétition, elle est toujours fraîche et affûtée, plus elle saute, plus elle est en forme. Au CHIO d’Aix-la-Chapelle, le Rolex Grand Prix s’est joué dans le quatrième, le cinquième et le sixième parcours qu’elle a couru, et plus elle saute, meilleure elle est. Chakaria a toutes les qualités souhaitables, elle n’a pas vraiment de faiblesse, elle est vraiment extraordinaire.

 

Quelle est l’importance de la relation, du lien, entre un cavalier et son cheval pour gagner un Majeur du Rolex Grand Slam of Show Jumping ?

Je suis persuadé, et je l’ai toujours dit, que les cavaliers ne peuvent faire de grandes choses en saut d’obstacles que s’ils ont une forte relation avec leur cheval, c’est une question de confiance. Il faut que votre cheval ait envie de se battre pour vous. J’adore DSP Chakaria, et bien sûr, les victoires ne font que renforcer ce sentiment, mais depuis le début, nous avons quelque chose de spécial. J’ai dû être prudent avec elle quand elle était plus jeune, pour ne pas aller trop vite, car elle était un peu difficile au début de notre partenariat, et nous avons évolué ensemble, ce qui, je pense, fait une différence. Et je suis à peu près sûr qu’elle m’aime bien aussi !

 

Le CPKC ‘International’ Grand Prix présenté par Rolex est souvent vu comme l’un des parcours les plus difficiles au monde. Comment vous êtes-vous préparé, et comment avez-vous préparé votre cheval pour l’occasion ?

Je vais emmener DSP Chakaria, mais je ne suis pas sûr de la monter au CPKC ‘International’ Grand Prix, présenté par Rolex. J’ai déjà concouru au tournoi du CSIO Spruce Meadows ‘Masters’ de nombreuses fois, et je sais que certains des meilleurs chevaux de compétition n’y sont pas à leur plus haut niveau, car ce style traditionnel de sauts et parcours longs ne convient pas à tous les chevaux. Spruce Meadows est spécial, mais même d’excellents chevaux comme King Edward (monté par Henrick Von Eckerman) ne sautent pas aussi bien là-bas. C’est pourquoi je ne suis pas encore sûr du cheval que je monterai au Grand Prix. Mais elle est tellement courageuse et motivée, et elle aime sauter sur gazon, je pense qu’elle s’en sortira très bien. Je pars en tout cas avec de grands espoirs.

 

Dans votre carrière, qui vous a le plus inspiré et pourquoi ?

Quand j’étais enfant, j’admirais des gens comme Ludger Beerbaum, et aujourd’hui, je monte avec des cavaliers comme Christian Ahlmann, Marcus Ehning, Daniel Deusser et Steve Guerdat, et j’essaie de m’inspirer d’eux également. J’essaie de travailler en gardant l’esprit ouvert et en apprenant de tous les grands cavaliers, et il y en a beaucoup. Mais en même temps, je pense qu’il est important que les cavaliers se concentrent sur leurs points forts et qu’ils montent avec leur propre stratégie. Je ne pourrais pas vraiment nommer un cavalier particulier qui aurait été ma plus grande inspiration, mais j’ai été, et je suis toujours, inspiré par de nombreux cavaliers. Le plus important, c’est que je m’efforce toujours d’apprendre et de progresser.

 

Les autres membres de votre équipe, tels que les grooms, les vétérinaires, etc, jouent-ils un rôle important dans votre réussite ?

Tout commence chez moi, avec ma famille. Ils supportent avec moi les conséquences de toutes ces compétitions et de mes efforts pour obtenir des places dans les équipes pour les grands championnats. Participer à des championnats apporte une pression supplémentaire et les effets sur le mental sont hors norme. Ma famille me soutient dans ces moments difficiles où je me comporte peut-être différemment, avec plus de stress que d’habitude. Ils m’entourent mais me laissent ma liberté et m’apportent une stabilité essentielle.

Ensuite, bien entendu, les grooms, les cavaliers d’entraînement, les managers et tous ceux qui m’entourent sont très importants. Ils préparent tout et me permettent de participer aux concours et de me concentrer uniquement sur mes chevaux, tout en s’occupant de ce qui se passe à la maison. Notre sport nécessite un important travail d’équipe, et je pense que quand nous remportons une grande victoire, c’est une victoire pour nous tous. Les chevaux sont essentiels également, sans un bon cheval, il n’y a pas de grande victoire.

Je n’ai jamais vraiment eu d’entraîneur, à part mon père quand j’étais plus jeune, donc quand je gagne un concours comme le Rolex Grand Prix au CHIO d’Aix-la-Chapelle, c’est vraiment une victoire pour moi et pour mon équipe.

 

Selon vous, quel impact a eu le Rolex Grand Slam of Show Jumping sur le monde du saut d’obstacles, et quelle importance revêtent pour vous les tournois majeurs comme le CHIO d’Aix-la-Chapelle pour le saut d’obstacles ou Wimbledon pour le tennis ?

Je pense qu’il est très difficile de gagner le Rolex Grand Slam of Show Jumping ; seul Scott Brash y est parvenu en 2015. Et c’est encore plus difficile de nos jours, car il y a tellement de cavaliers et de chevaux qui peuvent gagner un Majeur. Je ne sais pas s’il est possible qu’un cavalier le remporte à nouveau. Cependant, la possibilité de tenter de gagner le Rolex Grand Slam of Show Jumping fait une grande différence dans notre discipline. Il ne s’agit pas seulement du montant du prix, mais le titre de gagnant du Rolex Grand Slam of Show Jumping, ou d’un Majeur, c’est vraiment quelque chose de spécial, un peu comme gagner une médaille d’or aux Jeux olympiques ! C’est un peu comme le grand Chelem au tennis, tout le monde veut le gagner, mais la plupart échouent, seuls les plus grands athlètes y parviennent, et ils entrent dans l’histoire du sport. Pour gagner un Majeur, vous devez être au top des meilleurs, ça ne peut pas être un coup de chance.

 

Si vous n’étiez pas cavalier de saut d’obstacles, quel métier auriez-vous fait ?

J’ai été un très bon joueur de football étant plus jeune, j’ai donc rêvé à une époque d’être joueur professionnel. Mais aujourd’hui, ce rêve est bien révolu ! Je ne sais pas trop ce que je serais devenu si je n’avais pas été cavalier de saut d’obstacle, mais j’aurais fait quelque chose lié au sport. J’aime beaucoup le sport, à part le football, je regarde et je joue au tennis. Mon fils est joueur de handball, donc je m’intéresse aussi à ce sport. Je passe maintenant beaucoup de temps aux États-unis, je regarde donc beaucoup la NBA et le basketball.

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