Rolex Grand Slam of Show Jumping

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Dans les coulisses du Rolex Grand Slam: Secrets d'éleveurs, Rencontrez la Next Gen, et bien plus!

Keeley Durham Keeley Durham

Secret d'éleveur avec:

Keeley Durham

 

Quel est votre premier souvenir lié aux chevaux ?

Mon plus ancien souvenir date de quand j’avais dix ans, quand j’ai fait mon premier concours au Parklands Equestrian Centre. Je participais à une épreuve pour les enfants, où l’on peut passer autant de fois qu’on veut jusqu’à faire un sans-faute. À chaque fois, mon père payait 50 pence, et il a fini par dépenser 20 livres sterling avant que je ne décroche une rosette, car mon poney s’arrêtait constamment et je n’arrêtais pas de tomber !

Quel est votre plus grand moment de fierté en tant que cavalière, femme de cheval ou éleveuse ?

J’ai la chance d’avoir vécu beaucoup de moments incroyables. En tant que cavalière, j’ai quelques souvenirs en tête, comme ma victoire à l’épreuve des Jeunes cavaliers du Horse of the Year Show de 1991, ou la médaille d’or par équipe (Jeunes cavaliers) aux Championnats d’Europe de San Remo en 1992, aux rênes de Welham.

Ce dernier était un cheval extraordinaire. Après moi, il a concouru et a remporté de nombreuses victoires avec John Whitaker, notamment le Grand Prix d’Aix-la-Chapelle. En tant qu’éleveuse, ma plus grande fierté reste d’avoir élevé Argento.

Comment vous-êtes vous intéressée à l’élevage ?

À l’époque où John [Whitaker] montait Wellham, nous nous trouvions tous deux à l’écurie de Nick Skeleton quand il m’a suggéré l’idée d’acheter une poulinière pour produire de jeunes chevaux. J’ai trouvé l’idée excellente, mais ce n’est que deux mois plus tard environ, quand John m’a demandé d’aller chercher quelque chose chez un fermier de la région, que je suis rentrée avec une jument de deux ans appelée Flora May. Elle a commencé à pouliner pour nous à l’âge de trois ans, avant d’être débourrée. Après son premier poulain, elle a participé à quelques concours de saut d’obstacles, puis a eu son second poulain, Argento.

En tant qu’éleveuse, avez-vous bénéficié des conseils d’un mentor ?

Je n’avais pas de mentor à proprement parler, je me suis fiée à mon instinct. Mais je regarde tout de même davantage aujourd’hui le pedigree du cheval qui m’intéresse.

Existe-t-il certains traits que vous recherchez chez vos juments et étalons pour obtenir la meilleure progéniture possible ?

Absolument ! D’ailleurs, j’ai fait pouliner la progéniture de ma première jument, tellement elle m’a plu. Elle avait tous les traits que je recherchais, et tous ses poulains ont une bonne conformation, ce qui est très important à mes yeux. Une jument doit avoir une morphologie correcte et un bon tempérament, mais aussi un « bon fond ». Évidemment, il faut aussi qu’elle bouge et qu’elle saute bien. Quand aux étalons, j’essaie normalement de choisir en fonction de la jument, par exemple si je pense qu’il faut ajouter des moyens. La conformation et le tempérament sont là aussi essentiels.

Quels sont les trois points principaux à retenir pour élever une bonne monture de saut d’obstacles ?

Tout d’abord, la conformation de la jument et de l’étalon. Ensuite, l’étalon doit avoir une bonne technique de saut et des moyens, sans compter une attitude positive sur chaque rêne. Je ne veux pas d’un étalon dur à gérer ou au mauvais tempérament, mais j’aime qu’il ait un peu de sang. 

Vous est-il déjà arrivé d’avoir un résultat inattendu d’un couple pas forcément très prometteur ?

Quand j’ai fait pouliner Flora May avec Arko, je ne m’attendais certainement pas à avoir Argento. À l’époque, Arko était un jeune étalon, et Argento était l’un de ses poulains nés en Angleterre. J’ai choisi Arko après l’avoir vu concourir avec Nick [Skelton], quand je faisais la tournée de concours avec John et Welham. Il était un peu coquin, mais avait un bon fond et des moyens impressionnants.

Le binôme cavalier-cheval est souvent crucial, est-ce un élément qui rentre en compte lorsque vous vendez un cheval à quelqu’un ?

Absolument ! Malcom Pyrah vous dirait que j’examine la personne à qui je vends un cheval avec autant de minutie que celle-ci examine le cheval ! Je ne vends pas beaucoup de mes chevaux, mais j’ai vendu Argento à John car j’avais déjà une relation de confiance avec lui. Plus récemment, j’ai vendu un cheval appelé Arakan aux États-Unis. Si je n’avais pas aimé l’acheteur, je ne l’aurais simplement pas vendu. 

Décrivez une journée ordinaire dans votre écurie pour nos lecteurs.

Il est avant tout important d’avoir suffisamment de terrain, pour donner aux chevaux une vraie vie de cheval, à l’extérieur. Les poulains doivent pouvoir grandir dans un environnement naturel aussi longtemps que possible avant d’être débourrés. Il est aussi très important, je trouve, de manipuler les poulains correctement dès la naissance. L’apprentissage du licol se fait dès le premier jour, pour habituer les poulains à la conduite en main.

Je ne produis pas énormément de poulains, pour pouvoir passer du temps avec chacun d’entre eux. C’est ça que j’aime, j’adore m’occuper des poulains. Si vous souhaitez que vos poulains naissent dans votre écurie, vous devez vous engager à accompagner la jument toute la nuit s’il le faut. Il suffit de dix minutes pour que quelque chose tourne mal. Parfois, tout semble bien se passer et soudain, il faut être là pour la jument et le poulain.

Combien de temps gardez-vous les poulains destinés à la vente ?

Je ne vends pas très souvent, en général je développe mes poulains jusqu’au concours. Si vous devez vendre un poulain, le meilleur moment de le faire est lorsqu’il commence à être sevré. En plus des chevaux de saut d’obstacles, j’ai élevé un cheval qui a fini en concours complet au niveau « intermediate » et d’autres chevaux de qualité, sans être des superstars.

Combien assurez-vous de poulinages par an en moyenne ?

À un moment donné, nous avions deux poulinières, mais aujourd’hui nous n’en avons plus qu’une. Nous aurons donc un seul poulain cette année. L’an prochain, je pense essayer un transfert d’embryon. J’aimerais garder un embryon de Betty May [la fille de Flora May] et en vendre un autre. Betty May est la propre sœur d’Argento. Sa première pouliche par Big Star, Stellar, aura trois ans l’an prochain, et elle est très prometteuse. Nous ne l’avons pas encore vue sauter en liberté mais à la voir dans le pré, elle va faire des étincelles.   

Quelles sont vos ambitions en tant qu’éleveuse ?

J’aimerai bien sûr produire une star du saut d’obstacles, mais j’ai la chance de l’avoir déjà fait une fois. Ce serait génial d’avoir un autre cheval du même calibre qu’Argento. On dit parfois qu’on ne peut avoir qu’un seul cheval exceptionnel dans sa vie, mais j’ai déjà eu Welham et Argento. J’ai réalisé tous mes rêves de petite fille avec Argento. J’adorerais aussi produire un cheval à la robe pie par Betty May, si je trouvais le bon étalon.

Quelles autres envies avez-vous, en dehors de l’élevage ?

J’ai récemment commencé à accueillir des clients propriétaires de chevaux de compétition, que j’entraîne et que je conseille. J’adore suivre leur parcours et les aider à accomplir leurs objectifs en les guidant dans la gestion de leurs chevaux. J’ai trois gros clients, dont Evie Toombes, la cavalière de para-équitation, qui est pour moi une source constante d’inspiration. Mes deux autres clients sont la mère d’Evie, Caroline, et Andrea Lloyd.  

Selon vous, le Rolex Grand Slam a-t-il été une bonne chose pour le saut d’obstacles ?

Oui, tout à fait. Cela représente un bel objectif à atteindre pour les cavaliers actuels et futurs. Une somme incroyable est en jeu, et le système des bonus donne aux cavaliers une motivation supplémentaire. 

Parmi les quatre Majeurs, quel est votre préféré et pourquoi ?

J’ai eu la chance incroyable de participer à chacun d’entre eux. Ils sont tous formidables, mais mon préféré est celui d’Aix-la-Chapelle, où j’ai de très bons souvenirs, comme la victoire de John et Welham au Grand Prix de 1997, comparable à Wimbledon pour le tennis. J’aime aussi beaucoup Spruce Meadows, en particulier là où il est situé. La famille Southern est extrêmement accueillante, elle fait tout pour vous aider et pour que vous vous sentiez bien. Le concours s’est beaucoup amélioré et l’atmosphère est comme nulle part ailleurs.

Qui vous a le plus inspirée dans votre carrière ?

Ma mère, qui m’a soutenue à tous les moments de ma carrière et pour qui j’ai une admiration sans bornes. Elle a travaillé extrêmement dur pour me permettre de réussir, et nous avons eu la chance de trouver Welham à travers Nick Saywell. Elle est ma force de tous les instants.

Quel est le meilleur conseil que vous ayez jamais reçu ?

Quand je travaillais pour Nick Saywell, au moment où j’avais du succès avec Welham, il m’a dit de ne jamais oublier mes amis dans mon chemin vers la réussite, car j’aurai peut-être besoin d’eux au retour. Une autre préconisation utile est de toujours écouter les conseils, car on ne cesse jamais d’apprendre.

Quel conseil donneriez-vous à un jeune qui souhaite se lancer ?

Avoir une attitude positive et être prêt à travailler dur et à écouter. Il est primordial de savoir écouter les autres. Beaucoup de gens viennent me voir mais n’écoutent pas mes instructions. C’est très frustrant de devoir se répéter constamment. Il faut aussi être ambitieux et prêt à travailler dur pour les réaliser ses objectifs.

Thibault Philippaerts (Photo: Dirk Caremans) Thibault Philippaerts (Photo: Dirk Caremans)

Rencontrez la Next Gen avec:

Thibault Philippaerts

 

Quels sont vos objectifs pour cette fin d’année ?

Je n’ai pas d’objectif précis. Je viens de revenir d’un concours en Italie, qui s’est très bien passé : j’ai fini à la troisième place du Grand Prix 3*. Mes chevaux sont encore jeunes. Je vais encore leur faire faire deux ou trois concours, puis je commencerai à réfléchir à l’an prochain.

Et quels sont vos projets et ambitions pour 2022 ?

J’ai plusieurs bons chevaux actuellement, mais la plupart sont jeunes et manquent encore d’expérience. J’ai commencé à les préparer cette année pour passer à des épreuves plus difficiles l’an prochain.  Mon objectif principal sera les Championnats d’Europe pour les jeunes cavaliers. Ce sera la dernière année pour moi, en raison de mon âge. J’aimerais bien y aller avec une équipe solide et tenter de remporter une médaille.

Vous faites déjà une belle carrière. Quel a été votre plus grand moment de fierté professionnel ?

À l’âge de 13 ans, j’ai remporté le bronze en individuel aux Championnats d’Europe Poneys. C’était la surprise, j’étais aux anges. Mais mon meilleur souvenir a été de gagner la médaille d’or par équipe aux Championnats d’Europe Junior de Fontainebleau. Tous les membres de l’équipe étaient amis de longue date, et ça nous a fait énormément plaisir de décrocher l’or ensemble. J’y pense encore aujourd’hui avec émotion. C’est un souvenir inoubliable.

Comment avez-vous fait face à l’approche de ces réussites ? Ressent-on davantage le trac à un jeune âge ?

Je n’ai pas vraiment le trac, donc ça allait. Sur le moment, je n’ai pas l’impression d’être stressé, mais à la fin des concours importants, je sens quand même une certaine pression redescendre. Mais les grands moments, c’est aussi ce vers quoi on tend dans notre pratique sportive. Concourir en championnat ou dans un Grand Prix, c’est aussi un privilège !

Qui est votre plus grande source d’inspiration ?

J’ai de l’admiration pour de nombreux cavaliers, mais je pense que mon père est ma plus grande inspiration. Je lui dois tout. Il nous a offert, à moi et à mes montures, d’innombrables opportunités au fil des ans. Tout ce qu’il a construit chez nous, les chevaux et poneys qu’il nous a permis de monter, à mes quatre frères et à moi... quelle chance. Bien qu’il soit souvent en concours, il arrive tout de même à gérer l’écurie et les affaires à distance. C’est très difficile de réussir à la fois comme cavalier et comme homme d’affaires : je l’admire énormément, et j’espère faire de même un jour.

Vous venez d’une longue lignée de cavaliers d’obstacles. Vous et vos frères avez-vous, à un moment donné, pensé faire autre chose ?

Nos parents ne nous ont jamais poussés à faire carrière dans l’équitation. Enfant, je pratiquais beaucoup de sports différents : foot, tennis, course à pied... Mais on a grandi au quotidien dans les écuries. On a chaque jour envie d’être au contact des chevaux, qu’on adore, et de bâtir une vraie relation avec eux.

Qu’est-ce qui vous donne envie de réussir et de gagner ?

Regarder mon père et mes frères participer à des grands concours m’a sans doute beaucoup donné envie : l’atmosphère électrique, les moments d’exception... j’adorerais monter dans un Majeur un jour. Je veux avant tout faire mon possible pour concourir au plus haut niveau possible chaque semaine, et bâtir une relation exceptionnelle avec mes chevaux.

Avec quel cheval entretenez-vous une relation privilégiée ?

À 16 ans, j’avais une jument appelée Juvente Van De Kakebeek. Elle m’était très chère, car elle était née chez nous et c’est la première monture avec laquelle j’ai commencé à gravir les échelons. Elle avait beaucoup de talent et elle était très rapide, mais elle était aussi très intelligente. Nous formions un couple qui fonctionnait très bien, elle m’a véritablement lancé dans le sport.

Parlez-nous un peu des chevaux dont vous vous occupez en ce moment.

Aujourd’hui, j’ai un joli cheptel, dont plusieurs membres sont encore jeunes mais qui comprend aussi une monture plus âgée que les autres, Aqaba De Leau, qui s’est placée troisième dans un 3* récemment en Italie, et qui a déjà sauté plus haut cette année. C’est une super jument, qui fait toujours le maximum pour ne pas toucher l’obstacle. J’ai beaucoup de chance de l’avoir. J’ai aussi Cap du Marais, un hongre de neuf ans, qu’on a acheté en milieu d’année. Il n’a pas la même expérience, mais il commence à faire ses preuves au niveau supérieur, il est plein de promesses. Pour finir, j’ai deux chevaux de huit ans au potentiel très prometteur.

Je suis très satisfait de mes chevaux actuels, ils ont tous du talent à revendre, même s’ils ont encore besoin de temps pour mûrir et gagner de l’expérience. L’année prochaine s’annonce passionnante.

Êtes-vous heureux de voir revenir le public ?

Absolument ! C’est la cerise sur le gâteau pour moi. Le public donne toute son atmosphère aux concours, sans lui ce n’est pas comparable. Personnellement, j’ai l’impression de mieux monter, et certains chevaux aiment l’ambiance et se dépassent eux aussi. Entendre la foule applaudir à son passage, il n’y a rien de tel !

Quel effet a le public sur vos performances ?

J’aime épater la galerie, ça me motive d’avoir des spectateurs. J’adore la foule, le bruit...

Quel est le meilleur conseil que vous ayez jamais reçu ?

De ne jamais abandonner. Tous les cavaliers ont des hauts et des bas. Il faut savoir s’entêter dans sa volonté de s’améliorer. Il faut aussi faire confiance à son programme d’entraînement personnel et à celui de son cheval, y croire jusqu’au bout.

C’est facile d’être motivé lorsque tout va bien, mais dans le cas contraire on peut vite être démotivé et déçu. Après tout, les chevaux sont des animaux et peuvent être imprévisibles, il faut profiter des moments où tout roule. C’est aussi là que réside le plaisir dans notre sport, dans les liens qu’on entretient avec nos chevaux. Une fois qu’on a la confiance et l’amitié d’un cheval, celui-ci fera souvent tout pour nous. Et lorsque tout est réuni pour un grand moment, on en garde un souvenir inoubliable.

Que représente le Rolex Grand Slam of Show Jumping pour un jeune cavalier comme vous ?

Le Rolex Grand Slam couvre les meilleurs concours au monde, j’adore y aller pour regarder concourir mes frères. Mon rêve est évidemment d’y participer moi aussi un jour. Tous les cavaliers et toutes les personnes qui s’occupent des chevaux souhaitent y aller.

À votre avis, qui sera le prochain vainqueur du Rolex Grand Slam of Show Jumping ?

Vu la difficulté, je dirais un couple très spécial, comme Ben Maher et Explosion W. Ils ont une relation exceptionnelle, et ont déjà fait preuve de leurs talents lors de très grands événements.

Vous et vos frères entretenez-vous une rivalité fraternelle ?

Absolument ! Nous avons tous beaucoup l’esprit de compétition. Mais mon père est pire que nous ! Il a arrêté de monter pendant une période, mais aujourd’hui il participe de nouveau aux mêmes concours que nous. Il aime nous taquiner quand il gagne ou qu’il est plus rapide que nous. On veut toujours battre les autres, ça nous motive, mais on s’aime beaucoup et on se soutient aussi les uns les autres. On forme une vraie équipe. Mon père et mes frères m’ont fait profiter de leur expérience, mais lorsqu’on participe à la même épreuve, on ne risque pas de laisser gagner l’autre.

Comment décidez-vous comment vous partager les chevaux ?

Vu qu’on est cinq [quatre frères et notre père], ça peut paraître ardu, mais c’est plus facile qu’il n’y paraît. Souvent, cela dépend de qui a besoin d’un cheval à ce moment-là, et de celui qui correspondrait le mieux. Mais le cheval choisit souvent son cavalier. Il nous arrive aussi d’échanger. Pour le moment, nous réussissons à nous entendre, j’espère que cela continue !

Êtes-vous superstitieux en compétition ?

Pas tellement. Celà dit, si un concours se passe bien, je garde la même cravate jusqu’à ce qu’une autre épreuve se passe moins bien (à ce moment-là, elle passe à la machine). Mais je n’ai pas de vrai porte-bonheur.

Participez et gagnez avec #MyMajorDream

 

Le Rolex Grand Slam of Show Jumping comprend désormais une nouvelle initiative, intitulée #MyMajorDream.

Cette campagne vise toute personne ayant déjà rêvé de décrocher le trophée du CHI de Genève ou des Dutch Masters devant une foule en délire, de devenir le Prétendant en titre après un sans-faute époustouflant durant le renommé Rolex Grand Prix du CHIO d’Aix-la-Chapelle, ou de parcourir la piste de Spruce Meadows, l’un des parcours en extérieur les plus ardus de la planète, en quête de victoire. La campagne #MyMajorDream invite les cavaliers, grooms, propriétaires de chevaux, éleveurs et fans de saut d’obstacle à participer, en partageant sur les réseaux sociaux quel Majeur Rolex Grand Slam ils rêveraient de remporter et pourquoi.

Les participants doivent tout d’abord s’assurer de bien s’abonner au fil du Rolex Grand Slam of Show Jumping sur les réseaux sociaux, de taguer ce compte dans votre publication ou story et d’y inclure le hashtag #MyMajorDream, le tout d’ici le mercredi 1er décembre.

Les gagnants recevront une casquette Rolex Grand Slam of Show Jumping signée par l’un de nos gagnants précédents, comme Steve Guerdat, Scott Brash, Daniel Deusser ou Martin Fuchs.

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