Rolex Grand Slam of Show Jumping

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Dans les coulisses du Rolex Grand Slam: mercredi 15 juin

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Interview d'influenceuse avec:

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Esme Higgs est l'une des plus grandes influenceuses du monde équestre, avec 730 000 adeptes et plus de 100 millions de vues sur sa chaîne YouTube, ainsi que plus de 260 000 adeptes sur Instagram et 412 000 adeptes sur TikTok.

Quel est votre premier souvenir lié aux chevaux ?

J’ai eu la chance de grandir à la campagne, dans une petite exploitation fermière. Mon premier souvenir d’équidés est donc sûrement celui des ânes avec lesquels j’ai passé mon enfance. Les cavaliers du club équestre du coin passaient toujours devant chez moi, et aussi loin que je me souvienne, je harcelais mes parents pour qu’ils m’offrent des cours d’équitation. Ils me disaient invariablement non : j’étais toujours trop petite, trop jeune. La première fois que j’ai monté, c’était à la fête organisée pour le 5e anniversaire d’une amie. Après cela, mes parents ont été à court d’excuses, et m’ont autorisée à prendre des cours.

Mon premier poney s’appelait Mickey. Il est toujours avec moi aujourd’hui, il apparaît beaucoup dans mes vidéos. Il était en pension chez nous pour commencer. Je ne pensais pas qu’on allait l’acheter, mais on est tombés amoureux de lui ! J’ai eu beaucoup de chance de l’avoir eu à l’âge de huit ans. J’ai été chanceuse en général avec les chevaux que j’ai eus.

Comment êtes-vous devenue influenceuse ?

Par accident ! Casper, mon deuxième cheval, était très inexpérimenté quand on l’a acheté. Au départ, je postais mes vidéos sur YouTube pour voir comment il progressait. Mes proches me filmaient en train de le monter, à domicile et en concours d’obstacles, puis je m’occupais du montage des vidéos et je postais le résultat sur YouTube. Le fait de pouvoir visualiser les progrès que nous faisions ensemble m’a donné confiance en moi et en nous. Au début, je mettais les vidéos sur YouTube parce que mon smartphone n’avait pas assez de mémoire, et YouTube était un site de bonne réputation où les conserver.

Un été, j’ai décidé de faire une vidéo sur « Comment seller son cheval ». Comme je viens d’une famille qui ne connaissais pas bien les chevaux, je savais que les clubs équestres apprennent souvent à monter mais pas tellement à s’occuper des chevaux. Je me suis dit que cette vidéo pourrait donc être utile à certains. C’était la première vidéo que j’ai faite qui a été visionnée par des personnes en dehors de mon cercle d’amis et des membres de ma famille. Je crois qu’elle a été regardée mille fois, j’ai trouvé ça complètement fou ! C’est à ce moment-là que j’ai trouvé ma passion, et j’ai commencé à faire des vlogs. Pas parce que je pensais qu’ils allaient être regardés par des tonnes de gens, mais parce que je voulais faire une sorte de journal vidéo pour moi-même.

J’ai filmé beaucoup de vidéos que je n’ai pas postées, parce que j’étais trop timide ou que j’avais peur de ce que les gens allaient dire. L’été après mon GCSE [diplôme sanctionnant la fin de l'enseignement général au Royaume-Uni, ndlr], j’ai vraiment commencé à faire des vidéos YouTube tout le temps. Et j’adore toujours autant ça aujourd’hui. J’avais 16 ans, un âge intermédiaire où on ne peut pas encore conduire une voiture. Je vivais au milieu de nulle part. J’ai donc fait beaucoup de vidéos de mes poneys pour me distraire. Avec l’aide de mon smartphone, j’ai ainsi acquis 10 000 abonnés. Mais jamais je n’aurais imaginé avoir ce succès, ni que cela deviendrait ma seule occupation. À l’époque, je savais que de rares youtubeurs gagnaient leur vie de cette façon, mais ils traitaient de sujets très larges comme les produits de beauté. Je n’aurais jamais cru qu’il serait possible de faire de même avec un sport aussi méconnu que l’équitation.

Comment avez-vous progressivement bâti et développé un profil renommé dans le monde équestre ?

Le plus important, c’est de faire preuve de regularité. J’ai passé trois ans à charger une vidéo par semaine sur YouTube sans gagner un centime, et sans penser à en faire une carrière. J’étais simplement passionnée, et j’avais toujours envie de rentrer chez mes parents le week-end pour faire des vidéos. Beaucoup de gens essaient de se lancer sur YouTube mais se rendent compte après quelques mois que c’est plus difficile qu’il n’y paraît, et ils abandonnent. Les autres clés du succès : un contenu de qualité, le fait de rester soi-même et une certaine originalité.

Quels cavaliers suivez-vous sur les réseaux, et qui a le plus gros impact sur sa plateforme ?

J’aime bien regarder les vidéos de Caroline Breen. On y découvre toute sa vie. Beaucoup de cavaliers célèbres publient du contenu sur les concours, mais Caroline nous montre ses chiens, son jardin potager, tout ce que les autres cavaliers ne partagent pas normalement.

Quel est votre compétition préférée parmi les quatre Majeurs du Rolex Grand Slam of Show Jumping ?

Le CHIO d’Aix-la-Chapelle. J’y vais cette année pour la première fois et j’ai hâte ! Je suis sûre que ça va être super.

Quelle importance revêt une bonne stratégie marketing sur les réseaux sociaux, lorsqu’on tente de faire connaître un grand concours équestre ?

De nos jours, il est crucial pour ce type d’événement d’avoir une présence sur les réseaux sociaux. Les deux dernières années, l’univers équestre s’est retrouvé brutalement parachuté dans le 21e siècle et a commencé à réaliser l’importance des réseaux sociaux. Ces derniers font plus que jamais connaître le sport, et cela est primordial pour attirer la prochaine génération de cavaliers. Ils rendent aussi l’équitation plus accessible et compréhensible que jamais. C’est là l’un de mes chevaux de bataille, un sujet que j’ai déjà abordé sur mes réseaux. Je travaille en collaboration avec des club équestres et associations qui visent à rendre notre sport plus accessible. Beaucoup de gens sont arrivés vers moi parce qu’ils étaient amoureux des animaux en général, mais ils s’intéressent désormais aux sports équestres, et certains ont même commencé à monter à cheval !

Racontez-nous une journée typique dans la vie de This Esme.

Chaque jour est différent, il est peut-être plus facile de parler d’une semaine typique. Quand je suis chez moi, je suis normalement occupée à filmer et à monter mes vidéos. Je monte à cheval, je m’occupe de mes montures. J’essaie de m’arrêter le soir à une heure donnée, mais comme je travaille de chez moi et que je suis très déterminée et ambitieuse, j’ai du mal à ne rien faire. Je travaille probablement 80 heures par semaine sur la chaîne. Ceci couvre les heures de tournage, de montage, les interviews et les appels sur Zoom. Il y a toujours quelque chose à faire, mais j’adore ça !

Qu’est-ce que le Rolex Grand Slam of Show Jumping a apporté à ce sport ?

Le saut d’obstacles est à mon avis la discipline la plus facile à comprendre pour les gens qui ne connaissent rien aux chevaux. Et le Rolex Grand Slam of Show Jumping permet à un public plus large de regarder les meilleurs couples cheval-cavalier au monde concourir au plus haut niveau. Il y a aussi dans ce sport un côté très stratégique, et c’est bien que ce ne soit pas toujours la même personne qui gagne. Le saut d’obstacles est un sport passionnant à regarder. J’ai eu la chance de pouvoir me rendre à certains des plus grands concours au monde. C’est incroyable comme le public est près des chevaux, des cavaliers et de la piste elle-même.

Qu’aimez-vous le plus dans votre métier ?

Les personnes incroyables que je rencontre et qui me racontent des histoires inoubliables. Je travaille également aux côtés d’associations merveilleuses telles que Brookes ou World Horse Welfare. Et puis le fait de passer du temps avec mes chevaux et de travailler avec eux, c’est le rêve.

Quelles sont vos ambitions pour votre marque, votre chaîne, votre plateforme ?

Le rêve absolu, ce serait d’avoir une série sur une plateforme comme Netflix ou Amazon Prime. Ce serait hallucinant.

Qui est votre cavalier favori ?

Je vais avoir du mal à choisir... Trevor Breen est l’un d’entre eux. C’est mon moniteur d’équitation, et il m’a beaucoup aidé avec mon cheval, Joey. C’est un homme formidable. J’admire aussi énormément Holly Smith, que j’ai eu le bonheur d’interviewer plusieurs fois à Hickstead.

Qui est votre cheval de saut d’obstacles préféré ?

Je dirais Explosion W, le cheval de Ben Maher. J’ai eu la chance de le voir concourir lors de différents événements.

(Photo: Rolex Grand Slam / Peggy Schröder) (Photo: Rolex Grand Slam / Peggy Schröder)

 

Cela fait presque un an que vous avez remporté une spectaculaire deuxième place au CHIO d’Aix-la-Chapelle. Qu’avez-vous fait depuis cette date ?

Énormément de choses ! Ce concours a été très important pour moi, une expérience mémorable. Après cela, j’ai reposé mes chevaux et j’ai passé l’hiver à concourir à Wellington en Floride. Je suis de retour en Europe cet été, je vais participer à de nombreuses épreuves pour l’équipe nationale des États-Unis, un honneur dont je suis toujours très fier. J’ai plusieurs autres chevaux par rapport à l’an passé, je fais donc davantage de concours. J’essaie toujours d’avancer et de progresser.

Comment va Balou du Reventon ? Allez-vous le monter au CHIO d’Aix-la-Chapelle cette année ?

Il va super bien. Nous avons divers objectifs pour lui cette année, en vue desquels nous travaillons dur. Je l’ai monté à la Coupe des nations du CSIO de Rome - Piazza di Siena, et il a très bien sauté. Il a fait un sans faute à la deuxième manche de la Coupe des nations, mais a malheureusement encouru quatre points de pénalité sur le dernier obstacle du Grand Prix. Il est en parfaite condition. C’est vraiment un super étalon. Nous faisons attention à lui, car il va quand même avoir seize ans cette année, mais à chaque fois qu’on lui demande de faire des étincelles, il est au rendez-vous.

Comment faites-vous pour garder un cheval de cet âge en pleine forme ?

Il est très important de bien connaître son cheval et d’écouter ce qu’il vous dit. Il a beaucoup de caractère. Quand c’est trop pour lui ou qu’il a la flemme, il n’hésite pas à vous le faire savoir. J’ai la chance d’avoir une super équipe autour de moi, en particulier Lesley Leeman qui s’en occupe le plus souvent. On prend chaque jour comme il vient, et on vérifie sans cesse qu’il est en forme et en bonne santé, pour qu’il puisse sortir le grand jeu quand il le faut.

Présentez-nous vos chevaux de tête. Certaines de vos jeunes montures laissent-elles entrevoir un potentiel hors de l’ordinaire ?

Absolument. J’ai actuellement un autre cheval évoluant en 5 étoiles, qui m’appartient. Il s’appelle MTM Vivre Le Rêve, je l’ai acquis il y a sept ans environ. L’an passé, il était aux États-Unis et a été arrêté un moment, mais il est de nouveau en top forme. Il a treize ans, mais il a encore deux bonnes années devant lui. J’ai aussi un cheval de neuf ans très prometteur, qui appartient à Anne Thompson [la propriétaire de Balou du Reventon]. Et puis j’ai deux ou trois jeunes montures pleines de promesse, dont une de sept ans qui m’appartient et qui monte progressivement au classement. C’est vital d’avoir de quoi prendre la relève des chevaux de tête, lorsque ceux-ci commencent à vieillir.

Comment faites-vous votre choix parmi la multitude d’épreuves au calendrier et dans votre piquet de chevaux ?

Il faut en début d’année se faire un programme en fonction des chevaux qu’on a à disposition et de ses objectifs. Pour moi, monter pour l’équipe nationale est très important, j’ai donc préparé Balou du Reventon pour ces épreuves-là.  Je vais faire en sorte qu’il soit bien reposé à ces dates, pour qu’il soit en mesure de faire son maximum le jour J.

Vos concurrents sont-ils différents en Europe par rapport au circuit américain ?

Oui ! L’an passé, quand je suis arrivé en Europe, je ne savais pas trop à quoi m’attendre. Je savais évidemment que les meilleurs cavaliers au monde, des gens que j’ai admiré toute ma vie, évoluaient principalement en Europe. Mais ce n’est que lors de mon premier 5*, la première semaine où j’étais ici, que je me suis dit « oh mon dieu ». Je n’arrive pas à croire qu’il m’arrive de disputer des épreuves contre sept des dix meilleurs cavaliers au monde. En ce qui me concerne, cela me motive et me pousse à les imiter, pour pouvoir concourir au plus haut niveau, ça avive mon esprit de compétition. Quel plaisir d’affronter les personnes que je me contentais d’admirer par le passé, et qui sont maintenant mes rivaux !

Quelle est votre préférée parmi les quatre Majeurs du Rolex Grand Slam of Show Jumping ?

Le CHIO d’Aix-la-Chapelle, sans hésiter. J’adore le CSIO du Spruce Meadows ‘Masters’, mais j’aurais toujours une affection particulière pour Aix-la-Chapelle. Les quatre Majeurs sont tous des événements formidables auxquels j’ai toujours hâte de participer, mais celui-ci me tient particulièrement à cœur.

À quel autre sport (non équestre) compareriez-vous le saut d’obstacles ?

Je suis sûr que beaucoup de cavaliers seraient d’accord avec moi pour dire que le saut d’obstacles a pas mal de points communs avec la Formule 1, mais c’est un sport tellement unique et particulier qu’il est presque impossible de le comparer à une autre discipline.

Au lieu de Pilotes de leur destin sur Netflix, on pourrait avoir une version « Cavaliers de leur destin » ?

J’aime bien ce nom en tout cas, ce serait extra !

Quelles sont les pierres angulaires de la réussite pour un cavalier de saut d’obstacles ?

En premier lieu, il faut être connecté à sa monture. J’ai commencé ma carrière par amour des chevaux. Plus on consacre de temps et d’efforts aux chevaux, plus cela porte ses fruits, il ne faut jamais l’oublier. Que l’on ait un seul cheval ou une quinzaine, il faut les traiter comme des athlètes de haut niveau, qui ont leurs propres besoins physiques et émotionnels. Leur offrir les meilleurs soins, leur exprimer votre gratitude, les écouter : tout cela est important. Il faut comprendre son cheval et ne pas oublier les raisons qui nous ont poussés à choisir cette carrière. J’ai commencé par être un gamin fou de chevaux, et ça n’a pas changé.

En dehors des entraînements et concours, que faites-vous de votre temps libre ?

Mon temps libre ? Bonne question ! J’en profite pour me détendre, à la fois du point de vue physique et mental, et me réorganiser. J’adore cuisiner, même si je ne suis pas tellement doué ! Je vois beaucoup mes proches pendant les concours, car ils viennent me voir là-bas. Du coup, en dehors, j’aime bien prendre du temps pour moi et me préparer aux semaines qui vont suivre.

Quel est votre plat de prédilection ?

J’en ai plusieurs, mais je fais de très bon tacos aux crevettes !

Si vous pouviez monter n’importe quel cheval, passé ou présent, lequel choisiriez-vous ?

J’aurais adoré monter Hickstead, un cheval intelligent, puissant et rapide malgré sa taille modeste. J’ai toujours eu un faible pour les petits chevaux, c’est peut-être pour ça. Et puis même si je ne l’ai pas connu, il avait l’air de déborder de personnalité, et ça m’aurait sûrement beaucoup plu.

CHIO Aachen CHIO Aachen

Du 24 juin au 3 juillet de cette année, le CHIO d’Aix-la-Chapelle verra revenir les meilleurs couples cheval-cavalier au monde sur les superbes pistes du parc sportif de Soers. Cette belle compétition à l’atmosphère inégalée vous présentera des événements de cinq disciplines équestres différentes. Et avec 40 000 billets vendus, il se déroulera pour la première fois depuis 2019 à guichets fermés.

Il ouvrira officiellement ses portes le 28 juin et inaugurera les festivités par un magnifique spectacle faisant participer 200 chevaux, 500 figurants et d’extraordinaires artistes, dont le célèbre chanteur Wincent Weiss. Pour beaucoup, le principal temps fort sera la prestation du groupe Höhner, qui a enregistré une nouvelle chanson spécialement pour l’inauguration du Festival mondial des sports équestres.

Cette année, l’événement sera particulièrement axé sur la jeunesse et les jeunes talents, notamment par le biais d’une exposition de street art. Le premier week-end verra se dérouler de nombreuses épreuves pour jeunes cavaliers, ainsi qu’un concours de voltige sur la piste Driving Arena. Le CHIO d’Aix-la-Chapelle accueillera également pour la première fois les Jeux équestres de la jeunesse de la FEI. Ceux-ci verront la participation de 30 jeunes cavaliers de saut d’obstacles, âgés de 14 à 18 ans, issus de 30 pays différents, de l’Égypte au Guatemala en passant par la Nouvelle Zélande ou l’Ouzbékistan. De talentueux cavaliers s’affronteront dans le stade principal lors d’épreuves individuelles et intercontinentales.

Souvent comparé à Wimbledon pour le tennis, le CHIO d’Aix-la-Chapelle fait participer les meilleurs chevaux et cavaliers de saut d’obstacles au monde. Le mercredi 29 juin au soir aura lieu le Turkish Airlines-Prize of Europe, l’un des concours de saut d’obstacles les plus côtés au monde. Première épreuve de qualification pour le prestigieux Rolex Grand Prix du dimanche, elle rassemblera les meilleurs cavaliers qui feront tout pour décrocher ce célèbre trophée. La Mercedes-Benz Nations Cup se déroulera le lendemain soir, et réunira les huit meilleurs équipes au monde. Les Jeux équestres mondiaux de la FEI approchant, les concurrents auront comme objectif de faire impression sur leur chef d’équipe national. Et bien sûr, le clou du festival sera le Rolex Grand Prix le dimanche. Daniel Deusser, gagnant l’an passé et chouchou de la foule, reviendra au célèbre parc sportif de Soers en tant que Prétendant actuel au Rolex Grand Slam of Show Jumping. Suite à sa victoire aux Dutch Masters de mars, il cherchera par tous les moyens à conserver son titre de champion. 

Le CHIO d’Aix-la-Chapelle comprendra également un CDIO 5* dont une reprise libre, le Grand Prix Freestyle, qui aura lieu le dimanche 3 juillet. Isabell Werth et DSP Quantaz, les gagnants l’an passé, feront le bonheur de la foule en tentant d’ajouter un autre trophée à leur palmarès. Les organisateurs ont aussi organisé une cérémonie d’hommage qui sonnera la fin de carrière de Bella Rose, une autre monture d’Isabell Werth, le vendredi 1er juillet au soir sur la piste du Deutsche Bank Stadium, où le duo avait remporté le Deutsche Bank Prize en 2019.

Les 1er et 2 juillet aura lieu un concours complet de très haut niveau, la SAP Cup. Le samedi matin, les participants prendront le départ du parcours de cross qui mettra à l’épreuve leur endurance, vitesse et précision. Et enfin, les attelages se disputeront le prestigieux prix du groupe Schwartz.

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